A la recherche du temps perdu

Resumen del libro

La deuxième partie d'A l'ombre des jeunes filles en fleurs : " Noms de pays : le pays ", en faisant écho à la dernière partie de Du côté de chez Swann : " Noms de pays : le nom ", annonce un progrès dans la connaissance des réalités. La ville rêvée, enveloppée de brumes, se révèle bien différente, illuminée par un soleil éclatant. Mais ce Balbec au nom oriental permet au héros d'accéder à un autre orient de ses rêves. Mme de Villeparisis, amie d'enfance de sa grand-mère, lui présente le marquis de Saint-Loup et le baron de Charlus qui, comme elle, appartiennent à l'aristocratique famille des Guermantes. La découverte de l'univers d'Elstir, peintre de génie, lui dévoile - sans qu'il en ait pleinement conscience - quelques-unes des vérités essentielles qu'il avait jusqu'alors vainement cherchées. Et Elstir lui permet encore d'aller au bout d'un rêve en l'introduisant auprès de la petite bande des jeunes filles en fleurs qui se profilent le long de la plage de Balbec. Au plaisir de leur compagnie le jeune homme est prêt à tout sacrifier : parents, amis, travail. A-t-il vraiment tort ? Le texte proposé ici a été établi avec le plus grand soin d'après celui de l'édition originale, dans un souci de fidélité maximale à la ponctuation de Proust et à ses intentions explicites. Des notes détaillées éclairent la lecture. Un dossier documentaire (accueil du roman par la presse, bibliographie) complète l'information.

Biografía del autor

Autor de una de las cumbres de la literatura universal, el ciclo A la busca del tiempo perdido, nació en París, en 1871, en el seno de una rica familia con ascendencia católica y judía. Enfermizo e hipersensible, desde su primera juventud fue acentuando su vocación literaria y estética. Dedicado a la escritura desde 1896, publicó colecciones misceláneas, Los placeres y los días, o su Contra Saint-Beuve, un libro que dejaría rastro en su futura obra magna. Durante varios años se empeñó en una especie de autobiografía espiritual, Jean Santeuil, que dejó sin publicar. Realizó traducciones de John Ruskin. Cuando murió su protectora madre en 1905, aislado y maniático, luchando contra los ataques de asma, se dedicó por entero a completar hasta su último aliento el gran conjunto narrativo À la recherche du temps perdu. Compuesto de siete tomos y miles de páginas, se publicó entre 1913 y 1927, y más de la tercera parte saldría de forma póstuma. También dejó un epistolario inmenso. Falleció el 18 de noviembre de 1922 por causa de una neumonía, a la edad de 51 años.