Le sourire du Tao

Resumen del libro

Lawrence Durrell a toujours été attiré par le taoïsme et par le mélange de philosophie et de règles de vie sur lequel repose cette religion souriante, voire narquoise. À travers la théorie d'un mouvement global des processus naturels où alternent le yin et le yang, il perçoit une esthétique de l'univers qui, pour lui, est poésie.
C'est donc le taoïsme qui unifie les deux parties de ce livre où les souvenirs ressortent sous l'interrogation philosophique : deux rencontres avec des êtres qui, chacun à leur manière, symbolisent pour l'écrivain le Tao et lui en révèlent le véritable sens. Grâce à Jolan Chang, l'érudit chinois sexagénaire aux allures d'adolescent, Durrell découvre, le temps d'un week-end, la magie essentielle du taoïsme, ce «point d'équilibre idéal où s'inscrit l'homme dans le cosmos, où le couple d'amants immortels, incarnation extatique du yin et du yang, vit un orgasme exempt du narcissisme occidental qui réduit l'amour à «une lutte sur l'oreiller entre deux ego acharnés à se dominer mutuellement. Son autre guide, c'est Véga au regard tantrique, avec laquelle il partit un jour à la recherche de Nietzsche et de Lou Andreas-Salomé sur les rives du lac Majeur.
Cet univers de souvenirs et de méditation recèle, au fil du texte, d'étonnantes notations qui vont d'un humour débridé à la poésie la plus intimiste.

Biografía del autor

Lawrence Durrell nació en 1912 en Julundur, en la India, donde su padre trabajaba como ingeniero. Estudió en el colegio de los jesuitas de Darjeeling y después fue enviado a la escuela Saint Edmund de Canterbury. Su primera obra literaria propiamente dicha fue El libro negro, ublicado en París en 1938 bajo el patrocinio e Henry Miller y Anaïs Nin. La novela mereció el elogio de T. S. Eliot quien, en 1943, le publicó su primer libro de poesía, Private Country. En 1945 apareció el primero de sus libros sobre las islas, una guía de Corfú titulada La celda de Próspero. Le siguió Reflexiones sobre una Venus marina, que trata de Rodas. En 1957 ganó el premio Duff Cooper con Limones amargos, relato de la vida en Chipre. Posteriormente, los años vividos en Grecia le dieron tema para Las islas griegas. La estancia de Durrell en Egipto durante la guerra le permitió gestar su obra maestra El cuarteto de Alejandría (Justine, Balthazar, Mountolive y Clea), que terminó en el sur de Francia donde se instaló de modo permanente en 1957. Entre el Cuarteto y El quinteto de Aviñón (1984-1985), escribió Tunc y Nunquam, unidas bajo el título de La rebelión de Afrodita. La presente obra, de reflexiones sobre la historia y la cultura de Provenza, y que incluye un último florilegio de poemas, apareció pocos días antes de su muerte, acaecida en Sommières en 1990.