Le diable à Westease

Resumen del libro

Roger Liddiard, jeune et brillant romancier tout juste démobilisé de la Royal Air Force, raconte les événements troublants survenus à Westease, village où il s'installe. Un crime est commis, suivi d'une disparition, et il s'y trouve mêlé, non seulement pour les résoudre mais
parce que leur diabolique auteur cherche à l'impliquer moralement. Liddiard fait la connaissance du Recteur de Westease, de sa fille Mary, ainsi que du Professeur, vieux gentleman perdu dans ses livres et ses pièces de collection, qui vit reclus au manoir. Liddiard se prend d'aversion pour un autre résident du village, Wyldbore Ryan, peintre célèbre, cynique et capricieux mais de grand talent. Survient l'assassinat du Recteur, à qui on ne connaissait aucun ennemi. Rapidement, les soupçons de la police se portent sur sa fille, Mary. Liddiard ne peut l'imaginer coupable et tombe peu à peu amoureux. Ses propres déductions l'entraînent à soupçonner Ryan. Mais le peintre a un alibi : le soir du meurtre, il dînait avec son ami le Professeur. Puis le Professeur disparaît, en s'accusant du crime dans une lettre laissée à Liddiard. La police s'interroge, ne parvenant à relever aucune empreinte du Professeur. Pour finir, Liddiard ressort la pièce, qui confirme son intuition : on y relève uniquement les empreintes de Ryan, car celui-ci et le Professeur sont une seule et même personne. Liddiard confronte Ryan, qui avoue, expliquant avoir voulu commettre le crime parfait, en esthète. Vicieusement, il prétend avoir toutefois prévu de se racheter en laissant un testament du riche Professeur en faveur de Mary Le roman se conclut par un surprenant coda. Roger Liddiard repose sa plume : tout ce qu'on vient de lire est une histoire inventée, dont toutefois chacun des protagonistes existe réellement. Et vous, demande-t-on au lecteur, à la place de Roger Liddiard, qu'auriez-vous fait ?

Biografía del autor

Victoria Mary Sackville-West, más conocida como Vita, nació en Kent, Gran Bretaña, en 1892. Su padre era el tercer barón Sackville y su madre, la hija ilegítima de Lionel y Pepita. Formó parte junto a su marido, el diplomático y editor Harold Nicolson, del conocido grupo Bloomsbury de intelectuales y artistas. Gracias a su íntima amistad con Virginia Woolf es considerada hoy la inspiración de la célebre novela de ésta, Orlando. Vita, que murió de cáncer en 1962 en su residencia de Singhurst, desarrolló su actividad creativa como novelista, poeta, cuentista, biógrafa, viajera, historiadora y diseñadora de jardines. Publicó su primera novela, The Heritage, a la edad de veintiséis años. Algunas de sus obras más conocidas son : The Edwardians, All Passion Spent, Family History y Seducers in Ecuador. De su poesía cabe destacar The Land, que obtuvo el Hawthornden Prize y The Garden, que consiguió el Heinemann Prize.