La bataille deStalingrad

Resumen del libro

En 1942, la 6e armée allemande atteint les faubourgs de Stalingrad où commence une bataille de cinq mois, parmi les plus dures de l'Histoire. L'armée Rouge oppose une résistance tenace aux troupes du Führer, au prix de souffrances extrêmes de part et d'autre. Tout bascule lorsque le maréchal Paulus, face à l'inéluctabilité de la défaite, décide de cesser le combat. Ce revers est un véritable tournant psychologique et militaire, largement exploité par la propagande soviétique.
Le IIIe Reich perd sa meilleure armée et doit renoncer à tous ses objectifs stratégiques dans le Caucase. Moins de 10 000 soldats allemands reverront leur pays. Associé pour toujours à ce désastre, et seul maréchal allemand à avoir été capturé par l'ennemi, Friedrich Paulus est une personnalité controversée. Retrouvés et publiés après sa mort, ses carnets constituent une source inégalable sur la conduite de la guerre et sur son action personnelle face aux ordres de Hitler.
Ils offrent un point de vue unique sur l'invasion de l'URSS et la terrible bataille de Stalingrad : le regard lucide et factuel d'un des généraux allemands les plus méconnus, reflet exact de sa pensée stratégique et de ses décisions tactiques lors de cet épisode majeur de la Seconde Guerre mondiale.

Biografía del autor

Friedrich Paulus, mariscal de campo al mando del 6.º Ejército durante la catástrofe de Stalingrado, es uno de los personajes más destacados de la historia bélica alemana de la Segunda Guerra Mundial. Dirigió los designios de cientos de miles de combatientes durante la batalla y en el cerco final al que fueron sometidos por los soviéticos con terribles consecuencias. Hecho prisionero se unió en Moscú al Comité Nacional por una Alemania Libre (Nationalkomitee Freies Deutschland), organización integrada por comunistas alemanes y mandos de la Wehrmacht que habían sido capturados, y cuyo fin era influenciar a las tropas a través de la propaganda bélica para levantarse contra el régimen nacionalsocialista. Por estos hechos fue señalado como traidor. Finalizado su cautiverio en 1953, regresó a Alemania para instalarse en Dresde, en la RDA, donde murió enfermo cuatro años más tarde.