Je vais, tu vas, ils vont

Resumen del libro

Comment supporter le temps qui passe quand on est forcé à l'inactivité ? Que faire quand on ne peut plus exercer le métier qui a donné un sens à notre vie pendant des décennies ? Existons-nous encore quand personne ne nous voit ? Autant de questions que se pose Richard, professeur de lettres classiques fraîchement retraité et totalement désoeuvré. Un jour, en passant sur l'Oranienplatz, à Berlin, il croise par hasard le chemin de demandeurs d'asile.
Et s'il trouvait les réponses à ses interrogations là où personne ne songe à aller les chercher ? Auprès de jeunes réfugiés venus d'Afrique qui ont échoué à Berlin et qui, depuis des années, sont condamnés à attendre qu'on les reconnaisse - qu'on les voie tout simplement... Mettant face à face deux réalités en apparence totalement opposées, Jenny Erpenbeck nous montre qu'à des périodes différentes, dans des pays différents, la fuite, la peur, la guerre ainsi que le sentiment d'être apatride peuvent définir le parcours de tout un chacun, quelle que soit son origine.
"La rigueur de Jenny Erpenbeck, sa perception cristalline de l'humain, son imagination incroyablement plastique font de " Je vais, tu vas, ils vont " un grand roman, aussi bien d'un point de vue esthétique que moral. " The New York Times Traduit de l'allemand par Claire de Oliveira

Biografía del autor

x{0026}lt;p x{0026}lt;strong Jenny Erpenbeckx{0026}lt;/strong (Berlín Este, 1967) estudió encuadernación y después dirección de teatro musical, y ha trabajado en la producción y dirección escénica de numerosas obras operísticas. En 1990 inició una carrera paralela como autora: ha escrito teatro, libros de relatos como x{0026}lt;em Historias de la niña viejax{0026}lt;/em y x{0026}lt;em La pureza de las palabrasx{0026}lt;/em y novelas como x{0026}lt;em Una casa en Brandenburgox{0026}lt;/em o x{0026}lt;em El x{0026} x0FB01;n de los díasx{0026}lt;/em .x{0026}lt;/p x{0026}lt;p Sus obras han sido traducidas a más de quince idiomas, y a lo largo de su carrera ha ganado, entre otros premios, el GEDOK, el Solothurner, el Heimito von Doderer, el HerthaKoenig, el Hans Fallada, el Thomas Mann o el Strega Europeo. En 2017 Alemania le concedió la Cruz del Mérito de la Nación. En Anagrama ha publicado x{0026}lt;strong x{0026}lt;em Yo voy, tú vas, él vax{0026}lt;/em x{0026}lt;/strong (premio Llibreter): Mete el dedo en la llaga de la mala conciencia europea: el drama de la emigración (Matías Néspolo, x{0026}lt;em La Naciónx{0026}lt;/em ); La mejor novela de Erpenbeckx{0026} x02026; Huye de los clichés para hablar de los refugiados (Pablo Martínez Zarracina, x{0026}lt;em Las Provinciasx{0026}lt;/em ) y x{0026}lt;strong x{0026}lt;em Kairósx{0026}lt;/em x{0026}lt;/strong : Una novela increíblemente cautivadora que habla de los abismos del amor y del desgarro por un país en decadencia (Karl Michael Braun, x{0026}lt;em Badische Zeitungx{0026}lt;/em ).x{0026}lt;/p x{0026}lt;p Fotografía: Katharina Behling.x{0026}lt;/p