Le dimanche des mères

Resumen del libro

Angleterre, 30 mars 1924. Comme chaque année, les aristocrates donnent congé à leurs domestiques pour qu'ils aillent rendre visite à leur mère le temps d'un dimanche. Jane, la jeune femme de chambre des Niven, est orpheline et se trouve donc désoeuvrée. Va-t-elle passer la journée à lire ? Va-t-elle parcourir la campagne à bicyclette en cette magnifique journée ? Jusqu'à ce que Paul Sheringham, un jeune homme de bonne famille et son amant de longue date, lui propose de le retrouver dans sa demeure désertée. Tous deux goûtent pour la dernière fois à leurs rendez-vous secrets, car Paul doit épouser la riche héritière Emma Hobday. Pour la première et dernière fois, Jane découvre la chambre de son amant ainsi que le reste de la maison. Elle la parcourt, nue, tandis que Paul part rejoindre sa fiancée. Ce dimanche des mères 1924 changera à jamais le cours de sa vie. Graham Swift dépeint avec sensualité et subtilité une aristocratie déclinante, qui porte les stigmates de la Première Guerre les fils ont disparu, les voitures ont remplacé les chevaux, la domesticité s'est réduite Il parvient à insuffler à ce court roman une rare intensité, et célèbre le plaisir de la lecture et l'art de lecture.

Biografía del autor

x{0026}lt;p (Londres, 1949) fue seleccionado por la revista Granta en 1983 como uno de los mejores novelistas británicos de aquella gran generación de los Ishiguro, Rushdie, Barnes, Amis y McEwan. Es autor de diez novelas, traducidas a más de treinta idiomas, de las que Anagrama ha publicado El país del agua (galardonada con los premios Guardian y Royal Society of Literature): Una de las mejores novelas inglesas contemporáneas... Singular y muy inteligente (Enrique Vila-Matas); Fuera de este mundo: La alternancia de voces narrativas constituye un logro indudable de la novela... Una extraña y deliciosa mezcla de sofisticada creación y de privada confesión... Excelente (Javier Aparicio Maydeu, El Periódico); Desde aquel día: Llega a unos niveles de ironía y fino cinismo admirables y difíciles de superar (Lluís-Anton Baulenas, Avui); Últimos tragos (ganadora de los premios Booker y James Tait Black): Bien concebida, bien armada, trabajada con riesgo y con talento (José María Guelbenzu, El País); La luz del día: Su mejor novela, la de estructura más compleja, arriesgada y estimulante para quien se deje absorber por sus inteligentes remolinos vitales (Robert Saladrigas, La Vanguardia); y Mañana: Una novela preciosa... Ritmo puntual y preciso... Perfectamente ejecutada, con un manejo brillante del tiempo de la narración (Diego Gándara, La Razón).x{0026}lt;/p